Layla 2

Trésor
À lilas lois de la cérémonie de baptême de blé ses premières dents.
C’était un peu amant la fête de Saint Elie, quand la température montait à son plus haut degré à Alep.
Les chrétiens poussés souvent par les musulmans à prier ce Saint à la longue barbe blanche.
Afin d’éloigner sa carrosse de feu de s’en aller haut dans les cieux.
Ils répétaient en chantant
Oh Saint Elie Elie
Au nous de ta mère mère
Remue ta barbe en plis en plis
Pour avoir un peu d’air d’air
Un nouveau séminariste de l’archevêché
Grecque catholique a passé chez
Tante Léa pour annoncer la visite annuelle de l’évêque ; la tournée aurait lieu le 21 Juillet à 5 h de l’après-midi.
Resté seul au seuil de la chambre moussant de lumière ; il regardait avec curiosité les objets arrangés dans cette chambre bien équipée des premiers ne cécités pour une solitaire
Tante Léa est allée lui chercher un verre d’eau fraîche.
En sortant de chez elle, il lui a dit : d’une voix basse : « le panneau en bois est un trésor garde le bien caché.
En regagnant sa chambre Toute Léa se demandait de quel trésor.
Il parlait le panneau en bois ?!
C’était un morceau de bois noirci ni moins mi plus, il ne servait qu’à soutenir la porte de sa chambre pour ne pas se fermer derrière elle quand elle sortait à la hâte.
Et que les clefs n’étaient pas sur elle ce plancher ; traînait depuis longtemps entre ses pieds elle l’avait cherché de la cave de sa sœur Aimée Angie la femme du bri connier où on entassait les bries et lunes à l’aveuglette, elle l’avait pris sans préciser de qui s’agissait il en tout cas, personne ne l’avait remarqué que ce séminariste qui vient d’arriver de Liban.
Après avoir examiné minutieusement le morceau de bois les rayons du sobil tante Léa a constaté pour la première fois qu’il y avait une gravure en forme de croix au dessus et au face, un mélange de couleurs effacées.
Vite avec un chiffon et un peu d’Arak.
Elle a commencé à le frotter doucement peu à peu des yeux d’un petit enfant lui souriaient, assis au sein de sa mère
«  C’est une icône de la saint verge portant Jésus »
Ravie d’un côté, inquiète d’un autre
Comment justifier la présence de cette icône chez elle suite elle la couchée au fin fond de son malle.
Dès lors, elle prêtait attention aux prix incroyable des icônes antiques elle se sentait posséder toute la richesse du monde. Elle naguère si démunie délaissée, elle avait passé toute sa
A s’occuper des autres sans s’être rendu compte des années qui se sont écoulées la voilà dans la soixantaine vivant dans une chambre d’une maison Alépine revenant à l’église.
La brise agitait elle a peine les feuilles nouvellement poussées de la vigne grimpante sur une grille formant avec la chambre occupée de tante Léa un coin fort frais en été dans la grande maison où vivaient plusieurs familles gratuitement chaque famille avait son coin indépendant
Une grande chambre à 3 fenêtres et une porte donnant à la cour.
Une cave s’étalait au dessous ; il passait pour un grenier de provisions et une salle de séjour pendant les jours de canicule en été.
Toutes les familles se partageaient la cour et l’ombre d’un grand cédrat planté au milieu.
Le puit au fond et les 2 seaux en caotchouk pour s’abreuver et puiser l’eau à tour de rôle et au besoin.
Le toit pour faire sécher le linge en été et les légumes pour l’hiver.
La cuisine, elle contenait un évier en pierre pour la vaisselle et quelques étagères pour les rares ustensiles.
De même, les familles se partageaient la joie et la peine la douceur et l’amer tune
L’évêque a annoncé d’avance sa visite rituelle pour sa paroisse afin de bénéficier en eau bénie les quatre coins de la maison, les personnes et leurs biens, on dit que l’eau bénie tue mites puces et pucerons.
Femmes, hommes et enfants de se mobilisaient et sintreaidaient à faire le grande ménage estival digne de cette visite il lumineuse, cette tournée pastorale était un évènement grandiose attendue impatiemment.
La visite de l’évêque précédée de son bedeau tapant a chaque pas le sol de son bâton ; suivi de deux prêtres l’un portant l’eau bénie dans un seau en argent rutillant, l’autre des rameaux d’olivier et de myrthe. Et le secrétaire trainant derrière eux portant un grand cahier contre son cœur.
Ce jour-là, Léa était très préoccupée après avoir monté le canapé en bois elle la couvert d’un matelat en fleur presque neuf et des coussins en soie qu’elle avait garde pour cet occasion afin de préparer une installation convenable digne de cette visite annuelle de l’évêque et de son cortège elle se mettait à préparer une grande quantité de limonade rafraîchissante avec des glaçons quand les autres habitants commencaient à se présenter dans la cour.
D’habitude à l’approche du bruit du Haton du bedeau frappant le sol les habitants de la maison se placent en deux rangs dès la porte de l’entrée jusqu’au milieu de la cour accueillant le cortège patriarchal enchantant ;
Soyez le bien bien venu
Monseigneur Lénissez nous
Baignez-nous d’un éclair par l’illumination du saint esprit pour que dieu répand la lumière dans nos âmes bénies.
Les adultes prenaient les choses sérieusement alors que les petits endimanchés au milieu de la semaine riaient sous cape, se donnaient des coups des pieds et parfois même se déboutonnaient chemises et pantalons pour se divertir l’évêque prenait place sous la truelle sur une chaise capitonnée et ses trois adjoints s’asseyaient sur le canapé les habitants de la maison restaient debout chaque famille à tour de rôle s’avançait baîsait la croix et le père de la famille donnait ses nouvelles soit mauvaises soit bonnes. Le secrétaire inscrivait toutes ces informations dans le grand cahier de l’église les petits recevaient des médailles en argent figurants des saints le père de la famille lui recevait une envellope bien épaisse un sourire de satisfaction se dessinait alors sur son visage ; il se retirait en remerciant l’évêque et en louant Dieu qui n’oublierait jamais ses créatures.
La visite de l’évêque tombait bien en cette periode de l’année c’était l’occasion pour féliciter ceux qui avaient obtenus leurs brevets et leurs bacs et d’encourager ceux qui avaient ont échoué et assurément, inscrire dans le grand cahai les évènements remarquables de chaque famille.
Bien que tante Léa vine seule étant célibataire après la mort de ses parents et le mariage de ses parents et le mariage de ses 3 sœurs l’évêque lui remet a elle aussi une emvellope contenant une somme d’argent assez considérable pour subvenir à ses besoins nécessaires jusqu’à la visite prochaine d’un de ces 2 prêtres a l’épiphanie.
À 62 ans un veuf irakien a demandé sa main au mariage elle avait tout de suite accepté sans hésitation afin de essayer la vie en couple et d’éloigner la solitude.
En Irak elle n’a pas proclamé ce qu’elle possédait de si cher car pendant dix ans elle a voyagé avec son mari en plusieurs pays sans jamais avoir l’accasion de discuter ni icône ni argent la mort subite de son mari en Irak lui a poussé à revenir à Alep et s’installe de nouveau dans sa chambre en entrant dans la cour personne ne l’avait reconnue car de nouvelles familles ce sont installées dans la grande maison Alepine. La vigne ne restait qu’un petit troue sec.
Elle est allée voir ses neveux qui lui avaient manqué beaucoup pendant ce long absence. Ils l’avaient accueilli sèchement voire froidement les ingrats oubliant tout le bien qu’elle avait fait pour eux quand ils besoin d’elle en tout cas ils se sont habitués à son absence. Et ce retour subite leur a provoqué une perturbation surtout qu’elle avait déjà passé la soixante-dix ans. Et qu’elle aurait besoin de soin.
Le lendemain de son retour décidée dès le matin elle est allée voir le nouveau prêtre.
Il n’était que le séminariste qui lui seul avait revelé l’importance du panneau en bois.
Elle lui a confié l’icône en échange qu’il bin célébrait une messe de funérailles digne d’une princesse. Lors de sa mort.
Ainsi dit ainsi fait
Le prêtre fidèle à sa promesse il a prononcé un sermon si émouvant et si toue chant que tous les participants aux obsèques et même étrangers.
Proches voisins fondaient en chaudes larmes.
Dans la petite chapelle près du bas cote de l’église. Il a accroché l’icône. Sous laquelle il avait inscnt . don de Léa que Dieu ait son âme pure.
Le gardien du Al Nayal trousse 2
A simo pour qui le travail est un honneur au cours de ces derniers mois de l’année 2012 . Abou Jamil n’était plus le même.
Sa seconde femme, plus jeune que lui d’une vingtaine d’année vient de décéder une voiture l’a heurtée mortellement alors qu’elle marchait sur le trottoir laissant une fille de 4 ans.
Cette mort subite l’a bouleversé complètement.
Abou Jamil a fait son apparition dans notre quartier il y a quelques années seulement.
Le quartier Al Nayal à Alep.
Un quartier chic-choc.
Où on trouve de tout.
Tradition et modernité
Se mélangent
Allons de l’organisation urbaine jusqu’à aux habitants du quartier.
On le voyait essuyer avec acharnement les voitures garées dans la rue.
Equipe d’un seau à l’eau mousseuse, une éponge et deux à trois chiffons qu’il les tenait à ses épaules.
Il était toujours en savate, retroussant son pantalon jusqu’ aux genoux et sa chemise jusqu’aux coudes. Prêt à confronter l’eau en toute saison.
Après le nettoyage des voitures il trainait l’eau sale aux égouts les plus proches avec une raclette et un peu d’eau qu’il cherchait des robinets d’en bas d’un immeuble.
Ainsi, les habitants du quartier trouvaient, le matin, leur quartier et leurs voitures propres sans même payer un sou depit à petit, on lui a confié les clefs des voitures pour les nettoyer de l’intérieur aussi progressivement, on l’appelait pour laver les escaliers des immeubles et nettoyer les parquets et les vitres des maisons et le voila avec une trousse de clefs connaissant même les visiteurs de chaque immeuble et voire de chaque étage il court leur ouvrir les portes à leur arrivée
À la longue il est devenu indispensable dans le quartier sa présence inspirait la sécurité
On n’entendait que le nom de Abou Jamil qui se répétait aux lèvres de tout le quartier ceux qui l’appelaient avec des signes.
De mains pour qu’il les debarasse de leurs déchets.
Ceux qui l’appelaient à haute voix pour lui donner un pourboire.
Il ne des-entait jamais argent.
Il acceptait avec un sourire de satisfaction n’importe quelle somme.
Il mettait l’argent obtenu sans le compter dans sa poche après l’avoir levé à ses lèvres et à sa tête signe de remerciement.
Il exécutait avec dévouement tous les ordres sans jamais se plaindre.
Après les obsèques, ses beaux-parents ont pris tout ce qui appartenait à leur fille morte vêtements bijoux meubles.
Et ustensiles tout en refusant de garder leur petite fille sous prétexte que leur fille leur a désole en épousant un homme pareil sans emploi ni fortune.
La petite ; il la confiée à son ex-femme, ses enfants du premier lit prenaient soin d’elle.
Dorénavant, triste et distrait il exécutait ses fonctions avec peine il n’avait plus envie de rentre chez lui il a commencé à dormir n’importe où.
On le trouvait parfois couché à l’entrée.
D’un immeuble parfois sous un escalier.
Le mercredi 22 août c’était le jour convenu pour aller voir la petite et payer à son ex-femme les frais nécessaires.
En plein jour, la petite l’attendait sur le balcon, elle le voyait s’approcher elle l’appelait de toute ses forces :
« Papa je suis là »
Son ex-femme criait elle aussi pour lui avertir de ne plus avancer, plutôt de rebrousser chemin.
Abou Jamil, continuait à marcher droit et soudain, il est tombé alors qu’il traversait la rue.
La petite criait : papa lève-toi.
Son ex-femme a su que c’était la fin.
Un franc-chasseur l’a visé au cœur.
Abou Jamil est resté allongé sur le trottoir toute la journée.
Comme s’il continuait son sommeil.
À la tombée de la nuit, une ambulance a pu arriver pour le transporter.
On passant a ramassé la trousse de clefs tachetée de sang et il l’a jetée loin sur un tas de débris au coin de la rue.
L’ange gardien de notre quartier est mort que Dieu ait son âme.
Depuis, personne n’a pris le relais d’Abou Jamil.
Décembre 2012
Liberté
Je ne veux plus vivre avec tes parents j’étouffe ici, emmené-moi n’importe où loin ailleurs, je ne peux plus supporter cet enfermement, ça fait déjà 5 mois sans entrée ni sorties.
Où vais –je t’emmener ?
Calme-toi il fait nuit noire et froid dehors.
Moi, je m’en vais, si tu ne viens pas avec moi, Tans-pis pour toi, j’emmené nos deux enfants et je m’en vais toute seule.
Où vas-tu t’installer ?
Chez ta mère elle s’est remariée et elle n’halite plus Alep. Chez ton frère, il n’est jamais chez lui.
Chez ton père, il va nous enfermer comme d’habitude en sous-Sorel, dans la cave pour ne pas perturber sa nouvelle femme.
Emmène-moi dans notre appartement.
Dans notre appartement, tu crois que je n’y ai pas pensé, il est actuellement inhabitable, il lui faut des portes et des fenêtres, il n’y a ni eau ni électricité ni mazoute pour nous réchauffer. De même cet appartement se trouve dans la rue où il y a un franc-tireur introuvable, il vise les passants sans que personne puisse les sauver, alors ils meurent suite de leur blessures et sur place. Les cadavres se répandent et une odeur nauséabondes se diffuse dans l’air. Calme-toi restons-ici cette nuit Demain, au jour on trouvera une solution.
Toi, reste, moi je m’en vais
Tu t’en vas où ?
Dans un hôtel ?
Tu me prends pour qui ?
Je ne suis ni employé ni artisan
Je n’ai ni emploi ni atelier.
Je vis des ménages que je fais chez les gens et avec les heures supplémentaires c a d en nettoyant les escaliers des immeubles à peine arrivé je à joindre les deux bouts.
En dépit du danger, je risque ma vie chaque jour pour aller au travail afin de pouvoir payer mon père la location et la nourriture et payer la banque. Tu as oublié que nous devons à la banque le prix de notre appartement et chaque mois je dois payer une échéance de 7500L.S .
Toi, tu ne penses qu’à toi-même-tu es avec tes parents, ais moi j’ai l’air d’une intruse.
Pourquoi ce drôle de sentiment ?
Je ne veux pas défendre ma mère, elle te considère comme sa propre fille.
Elle fait tout le bien pour toi et pour les enfants elle cuisine, elle fait la vaisselle, le linge
Cependant, c’est moi qui fais le ménage
C’est bien, vous vous partagez le travail de ménage.
Pour quoi elle ne me laisse pas cuisiner comme avant ?
Sais-tu faire du pain ?
Tu vois qu’on ne peut plus acheter du pain chez le boulanger. Elle, elle est plus adroite.
Et plus habile à économiser cette source d’énergie qui maugère était à puis abordable aujourd’hui si rare donc si cher.
Qu’elle fasse du feu avec du bois comme font les voisins c’est beaucoup moins cher.
Tu veux que j’aille couper les rares arlires dans notre ville pour faire du feu comme fatigué, demain.
On trouvera une solution, au cos où la situation politique prendrait bon train.
Je ne crois pas aux miracles.
Après quelques jours, à l’aide de son frère, elle a déménagé avec ses 2 enfants dans une chamlire à peine était-elle meublée des premiers nécessités.
Ce que femme veut Dieu le veut.
L’homme obéissant suit sa femme.
Le froid, le manque de tout l’attend cependant, sa femme est très fière d’avoir atteint sa liberté dans un temps où la liberté s’oppose à la sagesse et ne correspond plus à la responsabilité.
Le déplacement des cimetières
Les clôtures de pins à l’ouest d’Alep recouvraient en effet les cimetières chrétiens de différentes confessions.
Alors que celles des musulmans se trouvaient un peu partout dans la ville.
Les gens, à chaque fois qu’ils passaient à côte. Ils sairétaient pour prier leurs morts.
Au cours de ces 2 années
2012-2013 la guerre a envahi Alep. Beaucoup de gens se sont déplacés pour se réfugier des bombardement de même les cimetières ont changé de place.
Au bord de notre quartier Al Nayal précisément en face du lycée Al maari un triangle de verdure s’est transformé en un nouveau cimetière.
La première inhumation a eu lieu fin août 2012.
Ahho, un habitant du quartier voisin « Seed Ali » a enture sa femme tuée d’une balle perdue dans ce nouvel endroit.
Faute de moyens et à cause des conditions difficiles des habitants les gens aussitôt passés aussitôt enterrés sans préparations ni cérémonies.
Ahho, avant de rentrer chez lui il s’arretaîl pour prier sa femme.
Morte jeune, et il lui racontait sa journée pénible avec ses 2 garçons progressivement, le nombre des épitaphes augmentait.
Au crépuscule de ce jour-là, alors qu’il se reposait sur la tombe de sa femme.
Il a entendu une plainte, la voix répétait sans cesse oh mon épaule.
Perplexe il a cru au premier moment que sa femme lui parlait.
Il a posé son oreille sur la pierre, aucun son ne sortait de la terre. Cependant la voix sortait de la terre à côté.
Vite il s’est mis à crier.
En quelques secondes les chaluhats les membres de la commission du quartier, les hommes de sécurité se sont accouru vers lui.
Avec leurs fusils, ils ont commencé à creuser et avec les mains à enlever la ture.
Quelqu’un s’est rappelé qu’il y a eu un enterrement depuis 2 heures en cet endroit la ture n’était pas encore séchée.
Et voilà, une femme ensevelie d’un drap rayé se levait difficilement et comme si elle était dans un état de semi-inconsciente
Elle demandait de la couvrir qu’elle avait honte d’être presque nue entourée des hommes inconnus vite on l’a couverte d’un manteau.
Un des responsables de la sécurité qui a assisté à l’enterrement a pris le charge de ramener la revenante chez elle dans une voiture de joli ce.
Depuis, Ahho, avant de rentrer chez lui, il ferrait le tour du cimetière en prêtant l’oreille à chaque pierre si un défunt nouvellement enterré demandait secours.
La chèvre de Abou steffin une chèvre super doué à l’école
Non, ne tirez pas sur elle.
Des morts. C’est assez suffisant pour aujourd’hui. Toutes ses semblables étaient touchées des balles perdues elle est restée seule.
Je lui ai dit maints pois de ne pas vous perturber. Elle n’écoutait jamais ce qu’on lui disait.
Vous voyez bien que c’est une bête entêtée elle est têtue comme une bourrique
Abou steffin a tiré sa chèvre difficilement de ses cornes arquées du pré voisin et il la attachée avec une corde, au tronc d’un arbre dans son champ. Loin du terrain voisin « Atareb » occupé actuellement par les rebelles.
Abou steffin a tj vécu à Dar Ezé son village natal, gagnant sa vie de ce qui il cultivait dans son jardin potager et de ce qu’il produisait de son petit troupeau de chèvres de même, il a pu obtenir un pos te de gardien dans une école à Alep. Ce travail suplementaire lui permettait de gagner un peu plus d’argent en ce temps difficile.
Au cours de ces deux derniers années 2011-2012
La guerre a envahi la Syrie.
Réclamait sa liberté de pâturer où elle voulait en poussant un bêlement continuel ce béguètement sans arrêt mettait les insurgés hors d’eux. Ils ont commandé à Abou steffin de la faire taire sinon eux ils s’en chargeaient
Résigné, Abou steffin, à la fin a emmené sa chenu avec lui en disant au directeur de l’école.
La cheire, elle aussi s’est déplacée pour ruminer paisiblement loin des rebelles et des balles.
La présence d’Abou steffin est devenu indispensable dans travail depuis que les déplacés se sont réfugiés dans les écoles partagé entre son poste à Alep et son retour au village pour prendre soin de sa cherire, personne n’a voulu la prendre en charge.
Aussitôt libre, elle sautait et gambadait dans la terre voisine.
Elle refusait de brouter dans son enclos rien ne peut la faire changer d’avis
Les nouveaux installés, eux aussi aux têtes dures, ont juré de la fusiller si elle s’approchait de leurs territoires
La chèvre elle, la voilà de nouveau attachée coûte que coûte, elle.
Les déplacés volontiers
Fatina a fermé sa port à double double clef après avoir coupé le courant de l’électricité et l’eau des robinets.
Le sac à dos bourré de premiers nécessités, tenant à chaque main un enfant et houps chez son amie d’enfance Souna à l’hôpital.
Souna, en effet était une fonctionnaire à l’hopital universitaire d’Alep. Elle partageait une petite chambre au dernier étage les jours de son garde avec des stagiaires.
Ces deux dernières années 2012-2013
La guerre a envahi Alep.
Faute de moyen de transports souna s’est installée dans la petite chambre emmenant son mari et ses deux enfants avec elle ainsi qu’une famille endommagée et qu’elle doive se déplacé recevant nourritures et provisions couvertures et vêtements aux frais de l’état de l’eau et de l’électricité étaient à sa disposition. Le chauffage central était apte à chasser le grand froid de l’hiver.
Le mari de souna allait s’absenter pendant les 4 jours de fête pour une affaire familiale.
Souna, se sentant seule, loin de son village et de ses proches elle a invité Fatina son amie avec ses enfants à passer le congé chez elle.
Aux jours pareils, le maire accompagné de ses adjoints parmi lesquels se trouvaient des responsables de sécurité de l’état.
Précédé d’un cameraman et des journalistes faisaient la tournée en direct pour s’assurer que les familles sinistrées ne manquaient de rien.
Au hasard, il est tombé sur Fatina qui venait de déjeuner avec Souna et les enfants le plat de ce jour-là était du poulet et du riz.
Le maire l’a interrogé sur la question de nourriture.
Elle de répondre que les plats seraient meilleures s’ils étaient accompagnés de crudité.
Tout de suite une noix de derrière ordonnait de couper camera.
Amour ou Rouma
Mariée à 14 ans divorcée à 18 ans.
2 garçons étaient nés de ce mariage de Jamilé la naïve et Ténos le vilain aussitôt une plainte de pédophilie est prononcée contre Ténos
Jamilé a demandé la divorce, elle l’a obtenue sans difficulté. Ténos a été condamné à 10 ans de prison Jamilé avec 2 enfants en charge va vivre avec sa mère restée seule après le mariage de ses 3 fils
Jamilé a du travailler dans une entreprise privée pour gagner sa vie et élever ses 2 enfants.
Les années se sont écoulées l’ainé est devenu un architecte le cadet, un apprenti chez un orfèvre.
Le jour ou l’ainé est allé signer des papiers pour un poste de travail chez le maire du quartier
Celui-ci le maire avait l’ordre d’appeler la police si la liste contenait les noms des jeunes gens. Le voilà en menottes engarde a vu la gendarmerie avec beaucoup d’autres pour faire leur service militaire Jamilé inquiète de la longue alisen de son fils. Elle a téléphoné à tous les proches, les amis, les voisins personne ne l’avait un ces derniers heures.
Un cousin, retraité depuis une dizaine d’année.
Poussé par sa femme est arrivé sur le coup et il a pris Jamilé dans son auto et ils ont commencé à chercher où pourrait il être.
Après des heures de recherches, dans les hôpitaux, chez les amis, ils ont appris qu’il a été arrête pour déjection et se trouvait actuellement avec une dizaine de jeunes de son âge pour être déportés aux casernes durant 3 jours successifs, le cousin arrivait en son auto accompagnant Jamilé a la gendarmene où son fils l’attendait en patiemment pour lui procurer quelques affaires, et une somme d’argent pour se débrouiller en voyage.
Dimanche matin.
Jamilé ce jour-là, n’a pas pu voir son fils il était déjà parti elle pleurait de tout son cœur et répétait à son cousin de ne pas la laisser tomber.
Ces mots chargés d’affections et d’émotion ont beaucoup touché le Viel homme.
Lundi matin. Le cousin est arrivé à l’improviste Jamilé dormait encore.
A pris la main de sa tante et il lui a avoué s’on qu’il tenait à Jamilé en mettant entre ses mains 10 mille L.Seten lui répétant qu’il ne la laissait pas tomber
La Tante rassurée d’un côté inquiète d’un autre.
Son neveu était bien aisé et riche.
Cependant il n’était pas libre financièrement sa femme a travaillé ty avec lui ils ont pu entassé beaucoup d’argent cependant c’est elle qui tenait les livides de dépensés. Elle lui versait jour après jour le montant des provisions le prix de l’essence pas plus.
Le service militaire terminé. Notre jeune architecte s’est marié alors que le cousin passait encore de Temps en temps chez sa tante et à chaque visite il donnait un plan nouveau pour sa futur né avec Jamilé .
Depuis que sa femme a su de sa relation illégale, au lieu de le libérer, elle est devenue chiche avec lui, ne lui donnant oucueu son
Les rêves de sa futur vie ont commencé à se dissiper
Jamilé la voila grand-mère d’un petit garçon. Le cousin est devenu.
De plus en plus vieux.
Il ne passait chez sa tante il se contentait de téléphoner pour prendre de leurs nouvelles, en souhaitant un miracle pendant cette guérie à Alep.
Pour pouvoir réaliser enfin sa promesse.
Tailler sur mesure
Depuis un certain temps Ahmad ne quittait plus sa marchandise.
On la lui a confiée pour la vendre il gagnait de cette commencer 25 pour cent du prix désigné sur chaque pièce.
Les articles à vendre se variaient de Temps à autre.
Tantôt c’étaient des tures à 3 fois rien.
Tantôt des utilités couvrantes ce jour-là le ballot contenait des vêtements pour hommes et les prix mentionné était élevé il prévoyait un profit convenable.
En effet, Ahmad n’était jamais un marchand ambulant.
Il était menuisier professionnel il a obtenu sa diplôme de l’institut Georges Selem des études techniques à Alep avec mention il travaillait méthodiquement il fabriquait des meubles sur mesure pour une clientèle de riches failles cependant, la guerre à Alep durant ces 3 années 2011-12-13 a changé tout jadis pros père, aujourd’hui son atelier ferme, il a du trouver une issue pour subvenir aux besoins nécessaires de sa famille sans hésitation, il a accepté d’être un camelot en détail.
Poussant loin sa véhicule a trois roues ailleurs dans de différents quartiers.
Ce jour-là, il a étalé les pantalons les vestes et les gilets dans un quartier chic à Alep les habitants s’arrêtaient regardaient souriaient puis s’en allaient sans commentaire enfin, un homme s’est arrêté et il adressé la parole en disant à Ahmad de trouver un autre quartier en ces lieux-ci les hommes se sont habitués à tailler leurs complets vestons sur mesure.
L’intention qui compte
Est-ce que vous avez de l’eau courante ?
Non, l’eau courante est coupée, cependant j’ai un réservoir.
Tu sais, on vient de déménager mes cinq enfants et moi.
On s’est installés dans cette clinique vide mais, comment peut-on faire pour le ménage, le bain et la cousine ?
Tiens, prends ce tuyeau et moi, j’ouvre le robinet de chez moi, ainsi vous avez de l’eau pour vous débrouiller aujourd’hui apres un certain temps.
Merci beaucoup pour l’eau.
Viens, prendre une tasse de café chez nous
Merci, j’ai du travail, je fais partie de l’organisation humaine pour secourir les réfugiés
Nous autres, nous sommes des refugiés, notre maison est bombardée, on vient d’Edleb un ami de mon mari nous a laissé les clefs de su clinique.
Que fait-il ton mari ?
Il est Jihadiste il fait la guerre sainte il combat avec les islamis tes contre toutes les confessions
Votre fils ainé, lui, il porte l’uniforme militaire.
Ah, oui il fait son service
Cependant, dans quelques mois il va defecter et suivre son père Allah ou Akbar
De l’intérieur mari de cette femme généreuse a applaudi en disant Bravo ma femme !
Tu aides des rebelles maintenant
On te punira pour cela.
Je ne sais pas quoi dire.
J’ai voulu aider une femme et des enfants en difficulté
Je crois que je n’ai pas fait mal à personne.
C’est l’intention qui compte
Maison de
Polices, venez voir ce qui se passe dans l’appartement situé au-dessus de nous, quartier sulymania, rue Venezuela.
Des cris, du tapage, de brouhaha interminables. On ne peut plus se reposer. Notre voisine a emmené des garçons et des filles clandestinement, son appartement est peuplé.
Je crois qu’elle gère une maison de prostitution je ne sais pas venez voir, et examinez-vous-mêmes car elle ne m’ouvrira pas si je frappe à sa porte, mais vous, vous êtes autorisés de voir c qui se passe à l’intérieur après la déposition de la plainte de la voisine, deux policiers l’ont accompagnée chez elle ils sont montés et entrés.
Après un certain temps.
Ils sont descendus touchés de ce qu’ils ont vu et de ce qu’ils ont entendu. Car l’accusée leur a expliqué tout l’affaire il y a deux jours le matin qu’alors, elle sortait de la cathédrale Sait Georges elle a entendu du bruit anormal dans le petit jardin en face
Elle s’est approchée. Elle les a vus entassés les uns sur les autres afin de se réchauffer, ils étaient mouillés sales, ils grelottaient de froid.
Elle leur a demandé ce qu’ils faisaient là, aucun n’a pu lui expliquer
Comment pouvaient-ils être là alors, sans hésitation, elle les a emmenés chez elle, pour s’occuper d’eux.
Elle les a nettoyés à tour de rôle elle leur a donné à manger elle les réchauffés
Tous les cinq sont des handicapés
Mental et physique après le bombardements de leur école privée ils ont marché, longtemps. Ils ont trouvé refuge dans le petit jardin sans que personne ait l’intention les chercher.
Pain
L’Amon de l’armée nationale lance des bombes sur les barricades derrière lesquels se retranchaient des rebelles et des insurgés.
Une poussière blanche se diffusait dans l’air et couvrait les cadavres parsemés dans les rues.
Cette poussière venait des sacs superposés des barricades, c’est une subsistance volée des granges de l’état par les insurgés ainsi, ils meuvent ceux-ci en détruisant avec eux l’aliment de premier nécessité de la population Alepine en traînant une perturbation devant les boulangeries de la ville et une hausse du prise du pain les sacs contenaient de la farine.
Langue étrangère
L’après-midi du 11 Février, lors de son retour du lycée, dans l’avenue de Bagdad à Alep
Mouhamed Bachi , a senti une violente secousse dans le dos, il a du tomber par terre, mais heureusement son copain l’a tenu à Temps.
Aussitôt arrivé chez lui, il a mis son sac à dos par terre, un trou à peine remarquable se trouvait sur la pochette du sac.
Après une pause de quelques heures Mouhamad repris son sac pour en sortir son cahier de français afin d’écrive ses devoirs demandes.
Comme il était impressionné et ému
Quand il a vu qu’une balle a perçu le cahier épais du français sans pouvoir y pénétrer plus en faisant un trou de 2 cm de profondeur ce cahier a pu le protéger d’être tué par une balle perdue dans le dos.
L’impasse
La coupure de l’électricité dure des heures parfois des jours entiers.
L’économie de l’eau est devenu une affaire quotidienne le manque de certaines provisions de premiers nécessités dans le souk le prix élevé de l’essence.
Les contacts téléphoniques devenus rares.
Tout cela, nous l’avons dépassés bon gré.
Mais le comble de la supplice c’est l’absence de la sécurité le danger plane n’importe où et n’importe quand à Alep.
Durant ces 3 dernières années
Soit une explosion d’une voiture piégée délaissée dans un quartier calme suivie de démolissement des bâtiments et morts des habitants civiles par centaines soit des mortiers lancés par les rebelles ça et là semant le cahot la destruction des biens des habitants paisibles.
Soit des snippers qui visent tout passant afin de vider le quartier de ses habitants ainsi les cadavres sont parsemés partout, dégageant des odeurs nauséabondes.
Soit des enlèvements de certaines personnalités
Soit la propagande des histoires affreuses qui se répandent sur les viols des femmes et la torture des jeune cette guerre cosmique contre la syrie. Où les jihadistes du monde arabe et du monde entier ont décidé de faire la guerre sainte contre toutes les confessions.
En réalité, cette guerre a libéré le monstre enfermé à l’intérieur de certaines personnes mesquines qui au début réclamaient liberté et réforment et à la fin ils ont abouti à la moisure et au pourrissement.
Piège
Quinze minutes, onze minutes sept minutes trois minutes Zero minute tirez.
L’armée syrienne tire durant cinq minutes continuelles après plus rien les snipers des jihadistes sont tombés au piège.
D’habitude, l’armée Syrienne tire dans l’air quelques balles pour annoncer la fin du discours du président BA. Diffusée à la radio ou à la télé.
Les snippers profitent pour viser les soldats afin de les tuer cette fois ci le commandant de l’armée syrienne a eu l’idée de couvrir les snippers cachés sur les toits des maisons.
Avant qu’ils aient l’occasion de tirer sur les soldats officiels l’opération militaire a réussi.
Mariage
Après 20 ans de résidence à l’étranger il est rentré dans son pays natal Alep un généocologue professionnel d’Allemagne de l’ouest, ses deux sœurs restées célibataires pendant son absence.
Elle attendaient son retour un patiemment et elles se mirent à lui trouver une épouse digne de lui.
La voila, une jeune fille de 14 ans culturellement armée d’un brevet de 3 l’appartement de dessous était déjà prêt à acceuillir le couple nuptial trois jours entiers d’isolement la jeune mariée va rendre-visite à sa maman.
Le docteur l’a deposée .chez ses.
Depuis, elle n’est plus revenue elle a tout laissé en échange de sa liberté.
Après un certain temps.
Dans un hôpital de maternité notre docteur rencontre son ex-femme elle aussi une généoeologue professionnelle.
Surpris et fier, il déclare a tout le monde qu’elle était sa femme retrouvée.
Elle de répondre, prise d’une crise hystérique qu’il était son voleur perplex, le docteur saute sur elle et il l’a tue [frappe mortellement].
Un prétendu mari
Donnez-moi quelques sous pour m’acheter un sandwich j’ai faim, ma femme m’affame elle m’a congédié de chez elle.
Prêtez-moi de l’argent, je vous le rendrai aussitôt ma femme m’ouvrait la porte.
Je lui ai tout donné.
J’étais un chauffeur chez une personnalité importante et généreuse.
Me payait par semaine je vivais chez ma sœur, restée seule après la mort de son mari j’étais libre comme un oiseau
On m’a proposé le mariage avec une jeune fille restée seule après la mort de sa mère et le mariage de ses frères et sœur.
J’habiterai chez elle, ensemble, fonderait un foyer.
Quel Bernic.
Elle a proposé de m’acheter une voiture et je serai chauffeur pour elle seule
Après quelques mois.
Elle a vendu la voiture sous prétexte qu’elle coutait cher. L’essence, les repartions.
Je suis resté sans travail ni salaire ni argent de poche.
Ma sœur est allée à l’étranger chez sa fille et moi je n’ai plus que ma femme.
Elle accepté de m’épouser je ne sais pas pourquoi
Ce n’est pas une femme c’est une monstre elle ne me permet pas de la toucher elle déclare devant tout le monde mon impuissance.
L’autre jour, j’ai du lire les papiers avant de les signer.
C’étaient des papiers d’adoption d’une fille
Dès qu’elle a obtenu ce qu’elle voulait elle m’a chassé.
Je ne sais pas où aller !
J’ai faim, donnez-moi quelques chose à manger
Sous pour m’acheter un sandwich
Bien que j’ai envie de fumer une cigarette.
J’ai parlé l’autre jour avec sa sœur ainée afin qu’elle puisse la conseiller que le manage est un partage en deux sa sœur pour me consoler elle m’a dit que si elle doudait de la chasteté de leur mère sœur passerait pour une batarde.
Elle a obtenu ce qu’elle voulait la maison des parents, les bijoux de la mère, un mari, un enfant et moi, je suis reste sans revenu
Mariage arrangée
Descends et fuis, qu’il ne te voie pas tu ne mérites pas d’être attrapé par un fou.
Une autre fois, compte le temps nécessaire et fous le camp avant son arrivée.
Botros, en voyant le fugitif de la maison voisine, il na lui ouvrir la porte de la cour.
Sans même le regarder ni connaître qui pourrait être.
Botros avait l’habitude de voir des mecs s’évader par l’échelle clouée contre le mur qui plus souvent, après le passage d’un évadé l’une des 2 sœurs de la maison voisine
Accompagnée de son frère arrivé à l’improviste entre chez Botros sous prétexte de lui demande s’il avait besoin de quelque chose.
En effet, c’est pour s’assurer que le mec s’est sauvé bel et bien.
Le frère aîné rendait sourire par sourire sans comprendre le comportement joyeux de Batros.
Botros n’est pas du tout un caïd ou un souteneur mais il haïssait ce frère aîné avare et despotique apparatchic
Et ringard de même par pitié des mecs dupes attirés par le sourire des 2 sœurs assises à tour de rôle sur le petit balcon donnant sur la rue.
Comment faire pour rendre ce frère docile et obéissant, les 2 sœurs ont eu l’idée de lui faire manger la cervelle d’un âne mélangée avec de la viande crue. Le frère a trouvé ce plat merveilleux, il le commandait souvent cependant, au bien de devenir aimable et paisible il a commencé à donner des coups de pieds à chaque fois qu’il dégustait ce plat.
Puis, elles ont en l’idée de lui trouver une épouse pour s’en débarrasser de lui mais ce frère laid et vilain exigeait une femme belle et instruite, obéissante et docile. Quelle aubaine!
De nouveaux voisins venaient de louer le sous sol de l’immeuble voisin le père à demenagé avec sa fille.
Elle était belle, elle préparait son brevet pour la fin de l’année scolaire
Les 2 sœurs lui ont proposé que lui frère pouvait l’aider à l’étude de plusieurs matières. Elle a accepté sans hésitation car elle avait vraiment l’intention de reussir cette année-ci de Temps en temps
Les 2 sœurs lui font entendre qu’elles souhaitaient qu’elle soit la femme de leur frère
Elle riait et elle répétait que cela lui ferait le plus grand plaisir en réalité cette belle voisine tenait au frère cadet qui fait son service militaire et qui venait de temps temps visiter sa famille après le brevet, ils se sont enfuis et ils se sont mariés clandestinement et faute d’argent. Le couple va vivre avec les 2 sœur et le frère génant ils vont s’installer dans la chambre au balcon qui donne sur la rue.
Dorénavant aucun passant ne levait ses yeux au balcon couvert d’un rideau opaque.
Les choses n’ont pas pris bon train jour les 2 sœurs.
Désormais, elles sortaient voilées de peur que quelqu’un les connaisse.
Enlèvement
Je vous prie ne me frappez pas je suis si fragile, depuis quelques mois j’ai eu un accident de voiture. On m’a levé la rate et le reim gauche.
Que voulez-vous de moi ?
Ôtez-moi ce suc opu opaque de ma tête, pour vous parler homme à homme. J’ai arrêté ma voiture parce que vous m’avez paru 3 jeunes gens en difficulté sinon, je n’arreterai jamais la chez-moi regagner ma maison ma femme va s’inquiéter de mon absence
Avec qui peut-on discuter argent ?
Téléphonez à ce numéro.
A la nuit tombante on l’a libéré son frère leur a payé une rançon
De 200 mille L S. en leur laissant la voiture
En rentrant il lui a ôté le sac de su tête depuis, il parle à lui-même il ne dort plus désormais, personne ne a pu prendre
Cette voute pour aller au travail.
Venez exo
Il est rentré seul d’Amérique du Sud.
Précisément de Venezuela.
Un jeune homme, beau et riche, il vient de signer un contrat avec une firme pétrolière.
En arrivant à Alep son pays natal il est allé directement chez sa tante paternelle, la seule membre de sa famille restée ds le pays
Sa tante contente de revoir son bon neveu, son soutien financier depuis la mort de son mari. Elle appelle tous les voisins pour le saluer et lui raconter comment pas un jour qui passe et ne repasse sans qu’elle se rappelle de lui.
Et remercie Dieu d’avoir tel neveu généreuse et aimable
Parmi les voisins qui sont arrivés en affluence. Une jeune fille de 14 ans venait d’entrer. Elle lui a Tena la main pour le saluer en lui disant ;
Oh c’est toi Elias que ta tante ne cesse de parler de toi et de la générosité
Que Dieu te garde de tout mauvais œuf après le départ des visiteurs
Elias a posé tant de questions concernant la jeune fille sa tante de répondre que cette jeune filles s’appelle violette, issue d’une famille modeste
Elle vit de ce que sagne sa maman étant masseuse.
Elias déclare que cette jolie fille sera sa futur femme.
Ainsi dit ainsi fait.
Et ta mère Elias, il faut la prévenir de ta décision
Elias n’a pas prété attention à ce qu’elle avait dit sa tante.
Il était si fier et si heureux d’avoir choisi une si belle et si jeune femme
La tante s’est occupée aux préparatifs du mariage.
L’heure fixée sonné
La mariée est entrée à l’église accompagnée de sa mère.
Tous les voisins brillaient dans leurs habits, la tante leur a demandé
De mettre des netévents dignes du mariage de son neveu.
La mariée portait une vole blanche à queue de poisson comme une Syrenne
Elias, lui, il était en uniforme de marine comme la légende.
Après la cérémonie, il y a eu une grande fête qui a duré jusqu’à l’aube
Les jeunes enviaient la mariée et souhaitaient être a su place.
De même les jeunes gens désiraient être comme ce mari libre et indépendant à prendre une décision d’engagement aussi rapidement.
La lune de miel passé.
Le jeune couple ont pris la large en paquebot pour Venezuella
Elias habitait encore dans la maison de ses parents. Et il va confier sa jeune femme à sa mère qui refusait d’avouer la légimité de ce mariage realisé loin d’elle.
Il va s’absenter plusieurs jours voire des semaines.
Violette deçue, délaissée pendant longtemps, a fui la maison et à l’aide de quelques bénévoles elle a pu s’embarquer pour rentrer chez elle. Laissant quelques mots à son mari sur un bout de papier
Si tu m’aimes encore. Viens me prendre de chez ma mère.
Et voila 48 ans qu’elle attende celui qui l’a tant aimée.
Promesse
Vous m’avez promis si je vous linie des jihadistes vous me récompenserez.
Bien sûr, chose promise, chose due.
Ils sont trois, ils vivent chez nous depuis fui Juillet ils passent pour mes demi-frères mais la réalité est tout autre.
Ce ne sont que trois jeunes gens étrangers ils ne parlent meme pas l’arabe.
Mon père les a logés chez nous, ils payent cher leur se jour 100 dollars par jour pour chacun.
Qu’est-ce que tu veux en échange ?
Je veux que vous arrétiez mon père et sa femme que vous les emprisonniez que je ne les vois plus ils ont accepté que ces trois me violent à tour de rôle et toutes les fois qu’ils en ont envie moi, je criais mais aucun son ne sortait ma belle-mère m’avait bouché la bouche et mon père ne cessait de répéter que j’avais de la chance d’être prise par des jihadistes par des soldats de Dieu.
Omar le boucher
Omar venait de faire son service militaire. Toute la famille s’apprêtait à célébrer son mariage prévu
La fiancée, une préparait sa trousse pour cet occasion et achetait à son goût des meubles pour sa nouvelle installation l’appartement, situé tout proche des parents.
Les 3 frères déjà pères de plusieurs enfants s’en occupaient volontiers, l’un était peintre le second charpentier et le troisième plombier heureuse de participer à l’indépendance de leur frère revenu sain et sauf du service national.
Omar était le seul parmi ses frères et ses cousins a prendre le relais étant boucher comme son père et ses oncles il a commencée dans la boucherie a l’âge de 7 ans.
Il a grandi avec les moutons égorgés les brebis abattues le sang la laine et les abats.
Son père l’emmenait avec lui chaque jour et il lui montrait tous les secrets du bon travail. Peu à peu Omar est devenu l’un des plus adroits bouchers un professionnel maniant la viande avec rapidité précision et propreté.
Cependant illettré Il est resté analphabète ignorant et inculte il n’est jamais allé dans une école et personne ne lui a appris à lire et à écrire voire a bon calculer.
Depuis 2010. Les riches habitants d’Alep ont prévu la dimension de leur perte avant que la guerre n’ait éclate à Alep.
Ils ont plié bagages d’avance et ils sont partis pour d’autres pays investir leurs capitaux.
Les démunies comme ils n’avaient rien, ne risquaient rien, eux aussi ils sont partis tenter leur chance de survivre ailleurs
Au dessous de table
Alors que les employés et les patrons des entreprises petites et moyennes sont les seuls restés, pendant cette guerre éclatée contre la Syrie a confronter les difficultés quotidiennes croissantes d’une rapidité incroyable.
Dès le début la guerre à Alep.
Les transports en commun à peine circulaient-ils dans la ville provoquant un arrêt brusque des travaux.
Cependant la vie continue.
Des phénomènes derrière des barricades.
Bien que les boutiques soient fermées des marchandises variées se sont étalées sur les trollous
Les déchets jeunes gens ont changé leur activité pour pouvoir gagner leur pain durant la guerre à Alep
La vie trouvait au rythme du soleil
Les voleurs se sont diversifiés
Omar est resté fidèle à son métier
Bien que l’abattoir officiel soit fermé la boutique de son père et de ses oncles démolie par des Mortiers.
Omar n’avait qu’à prendre des risques en travaillant avec un certain commerçant de bétail sur pied.
C a d des moutons vivant à égorger vendre la viande sans l’autorisation d’un vétérinaire officiel et partager le gain de la vente avec son associé.
Après un certain temps il s’est trouvé endetté d’une grande somme d’argent car trouver un endroit pour abattre l’animal clandestinement valait pourboire un grand et vendre la viande à une clientèle de plus en plus et démunie, Omar n’avait plus d’argent sur lui, il a épuisé tout son économie habile à manier la viande
Le palais de Justice en panne fermé les juges faisaient les grandes vacances obligation débile en calcul.
Plus il travaillait plus il s’endettait le montant a atteint un tel somme qu’il a fini à mettre en gage son appartement nuptial a son associé.
En peu de temps l’appartement n’était plus à lui en échange de quelques faux billets il s’est trouvé complétement fauché
Adieu mariage
Adieu bonheur
Omar attendait la fin de cette guerre de merde pour pouvoir porter plainte contre son préteur usurier ruineur son ravageur à chaqu’un son domaine.
Lisa est une infirmière noc turne dans un hôpital à Alep.
Elle fait 12 h de travail pour un salaire avec lequel a peine arrive-t-elle a subvenir aux besoins ne cessaires de sa famille son mari, actuellement chômeur durant cette guerre à Alep avant, il organisait des fêtes de mariage, de fiançaille.
De première communion, de baptême et même de circoncision à bon marché
Tant d’individus dépendaient de lui les propriétaires des cafés et des salles de fêtes sans étoile. Des chanteurs amateurs pour célébrer les fêtes.
Cependant à la fin de chaque fête sans exception il finissait en gendarmerie en garde à vue à force de boire et de soûler alors il perdait le pédale, il devenait très génant
Il commençait à détaler les défaux de ses clients, physiques en les imitant et morales, en les nommant par leur vice. Soit l’avane, soit l’infidèle
Ce jour-là, Lisa en rentrant chez elle, elle bin a proposé de s’accuper d’un certain septégénaire allité resté seul chez bin.
Ses enfants et leurs familles ont quitté leur pays à cause de la guerre prétendant que les enfants pourraient suivre leurs études ailleurs le mari vexé de cette proposition loin de son domaine cependant, il a accepté uniquement pour faire plaisir à su femme en présence de sa belle-mère venue à l’improviste pour voir sa fille et pour une piqure d’urgence.
Lisa, avait l’habitude de passer le matin pourprés son travail, voir son mari et s’assurer que tout allait bien avec le vieux après un certain Temps.
Elle voulait faire une surprise à son mari, elle a pris congé.
Il est allé le voir, le soir.
Elle a sonné à la porte.
Le malade incurable venait lui ouvrir la porte complétement guéri.
Lisa ne croyait pus ses yeux son mari dormait encore à cette heure-ci, son ronflement remplissait la maison
Elle lui a se Coué pour l’éveiller lui demandait une explication raisonnable de la guérison du vieux son mari de répondre qu’elle orllait assester a la cure du vieil homme.
À 9 h fisce, un groupe de jeunes musiciens foit son apparition au salon.
Chacun a installé son instrument de musique, tout de suite ils ont commencée à jouer le mari s’est mis à chanter le vieux à danser.
Tout s’était passé dans l’obscurité a la lumière des bougies
Le grand Saint Basil
Cela a fait déjà 3 jours et trois nuits que la compagnie dirigée par Basil jouait au poker chez lui.
Il aimait fêter le départ de l’année passée et l’arrivée du nouvel an et le grand Saint Basil son parton en jouant sans s’être intéressé ni par la perte ni par le gain.
Afin que ses 4 garçons et 2 filles encore jeunes aient le bon exemple de leur père aventureux ne risquant rien.
Nadia, sa femme savait d’avance comment se peinait-elle jour servir les joueurs, leurs femmes et sa famille au cours de cette période.
On grand buffet froid s’installait à leur service, a chaque fois des plats nouveaux se présentent des bouteilles de différents boissons se trouvaient à leur portée accompagnés de places et un seau à glaçons renouilable en permanence.
Basil, a proposé cette année à sa compagnie que le gain de la dernière partie resterait sur tatrle et ce serait une récompense pour celui que le mérité parmi les convives à l’unanimité Loubna la nièce de sa feurre avait été choisie, elle avait 12 ans elle a pu sur passer sa maladie Guillaume Barevé courageusement.
Clocharde sans soucis
Dans notre ville Alep.
Rarement qu’on rencontre un clochard cependant ces derniers temps on trouve assez souvent des gens sans travail ni domicile dormir n’importé-où.
Afsa est une jeune mère d’un petit garçon au lait, restée avec su belle-mère dans la rue après la mort de son mari d’une explosion à la maison
Ce départ triste et imprévu de son époux l’a mise sans revenu ni foyer sa famille vit à Salmyre cet oasis est inaccessible actuellement à cause de la guerre en Syrie
On lui a proposé de partager une classe dans une école avec d’autres familles sinistrées.
Afsa est née en plein air, sous les étoiles dans le désert, et les habitats fermés lui provoquaient donnaient la nausée.
Elle a décidé d’installer 4 pibers en fer et les couvrir d’une étoffe solide laissant une ouverture par derrière afin de pouvoir y entrer et en sortir.
Et cette nouvelle installation a eu lieu tout près du jardin public, au début du printemps près d’une source d’eau potable et les toilettes des promeneurs n’y est met loin le jour, Afsa se met par terre devant sa nouvelle demeure à tisser des cordons aux deux extrémités des éponges végétales, des luffas, afin de les maintenu et de en servir à frotter le dos sa belle-mère, taciturne, se mettait elle aussi par terre, à tresser des paillassons de différents couleurs.
Personne n’y ait pretté attention à ce qu’elles faisaient par terre.
Afsa a eu l’idée de crier aux passants que ces produits fabriqués sont gratuits prenez, hottez-vous avec cette épouge magique, vous vous debarasseriez de toutes vos peines.
Prenez ces paillassons, essuyez-vous les pieds vous laisseriez vos soucis hors de chez vous.

Le choix
Je te dis non, ce n’est plus mon probleme’ je serai la femme que tu as tant souhaitée à condition qu’il t’accepté.
Je me suis propose au marriage, seulement jour l’adopter sinon cette affaire sera classé.
Elle a encore poussé un autre prétendant mari, elle a dit non à tous ceux qui ont essayé de demander sa main au marriage. Sa decision est liée à celle du petit orphelin c’est lui qui va decider qui sera son nouveaututeur.
L’homme qu’il aura désigne je l’épouserai immédiatemment dit-elle.
C’est bien là un nouvel ennui, qui aura le dernier mot?
Les années se sont écoulées et le petit berhomme n’aimait plus besoin d’un protecteur elle la montre chaque member de sa famille en regardant le fiancée signe de satisfaction duvant la guerre à Alep. En dépit provenant mortiers lances. Ça et là du danger, les françailles se sont multiplies.
Comme si les jeunes ont trouvé une issue à leur inactivité de meme les parents l’encourage par leurs enfants à casser la soutire de la guerre.

Oh, non, quel malheur..
La maison de ma tante est détruite toute entière à la suite d’une explosion d’une voiture piégée qui était installée près de chez elle rue Sulaymania derrière le poste de sécurité politique à 5 heures d’une matin d’un Dimanche paisible. Les gens n’étaient pas encore reveilles.
Aussitôt sur place, je n’ai pu sauné qu’une image aux couleurs naguère si vives, aujourd’hui si terns de poussière. Elle était acrochée contre le mur du salon; elle figurait le parcours normal de la vie humaine.
En bas de l’image à gauche un nouveau né, un bébé dans un landau, souriant, il semble heureux d’être là òu il est c’est l’existence. Le bébé enthousiasme commence à ramper sur la première marche d’un escalier qui monte c’est la depart ensuite joyeux il se met à sauter à la seconde marche c’est la rentrée à la vie. Il devient un adolescent soucieux et négligeant c’est l’indifference puis serieux, en uniforme militaire. C’est le devoir et au sommet un home adulte indépendant c’est la liberté l’escalier commence à decliner à descendre marche par marche.
L’homme fière se marie c’est l’engagement puis, il devient père de quelques enfants.
C’est la responsabilité encore une marche vers le bas, l’homme triste, conduit sa fille à l’autel et la line à son mari c’est la sortie ensuite un grand-père entoure de ses petits-enfants c’eat l’arrivée et à la fin, un veillard à bout de force, assis sur une chaise, la tête courbée, il regardait à l’infini c’est la néant.
Hé! Ma tante désormais tu es ensevelie de décomlires de ta maison.
Dommage, tu étais seulement au sommet de l’escalier beaucoup d’étapes t’attendaient pour finir ton parcours de vie.
Helas, la guerre est menue racourir le trajet de ton existence que Dieu ait ton âme.

Prtite filles
Qu’est ce que vous attendez recevoir comme cadeau pour la fête des mères?
Une jeune fille celibataire demanda à sa voisine.
Je n’attends rien du tout, d’ailleur , j’ai eu déjà mes plus chers cadeaux depuis longtemps.
Une fois étant une mere ensuite quand je suis devenue grand-mère.
Mais non, je te demande les enfants qu’est ce qu’ils vont t’offrir? À cet occasion toi, qui les as tant aimés et que tu leur as tout donné.
Écoute, mon amour pour eux était y gratuit.
Ce que je leur ai légué; cela leur appartient ne me plus parle pas d’argent, l’argent c’est fait pour être déjeuner aux necessaries. Ils en ont besoin plus que moi.
La porte s’ouvre, les petits enfants courent precedent leurs parents.
On entend des rires et des claquements des portes. La gaîte règne d la maison et quand on demande à la plus petite fille que desiraient-elle être dans l’avenir elle sourit en disant: je veux être grand-mère.

Zeina la coiffeuse
La femme chez nous lettrée ou analphabéte a t aspire à son independence économique pendant les vacances, alors qu’elle était encore une jeune fille, elle savait le choix d’être une apprentice de couturier une aide infirmière ou travailler chez un coiffeur.
Les oarents lui faisait apprendre un métier pour l’avenir au cas où elle aurait besoin de gagner sa vie.
Aussitôt moviée et mere de quelques enfants c’est le mari qui la finançait cependant/ quand les enfants étaient déjà grands et le salaire su mari à peine suffirait-il pour la consummation quotidienne. La femme était libre d’éxercere une activité pour aider sa famille.
Zeina n’était une coiffeuse à domicile elle voltigeait comme un papillon d’unr maison à une autre pour un demi-heure le maximen le temps que lui demandait une coiffeuse à brosse et au séchoir.
Ses outils indispensables pour son métier sont bien ranges et certes propres, dans le sac qu’elle tenait à l’épaule.
Un séchoir éléctrique, des ciseaux, un tablier,3trousses, une pour les épingles des clips, la seconde pour les different peignes etvla troisième pour une variété de brosses à cheveux.
D’habitude, elle commençait sa tournée à 9h du matin, à la suite d’un rendez-vous fixé d’avance par telephone pour une coupur pour une mise en plis.
Elle faisait de 7 à 10 têtes par jour les jériodes de fêtes, des marriages.des premières communions rapportaient bien le nombre atteigrait la vingtaine.
Ce joli libre et indépandant ne lui coutait qu’une course à pied allant d’une adresse à un autre.
Elle gagnait chaque jour suffisamment ainsi, elle soutenait son mari aux frais supplémentaires de ses deux fils et de sa belle-mère une octogénaire qui vivait avec eux.
Depuis qur la guerre à Alep.la clientele de Zeina aprogressivement déminué, dans quelques mois. Zeina ne pouvait plus aller chez les clients à cause du danger qui planait partout, de plus le coupure de l’électricité et de l’eau les contacts téléphoniques sont devenus impossible.
Son boulot est devenu alors rarissime.
Les dames Alepines ont pris la decision de renoncer au brushing. Ells ont decide de couper court les cheveux, à la garçonne ells aussi ells ont declare l’austérité jusqu’à la fin de cette crise de guerre.